dimanche 21 juin 2015

LE GRAND MYSTÈRE DU SERPENT







Je tiens ma promesse de revenir de temps en temps.
 Cet article m'a interpellé, je le partage avec vous.




Photos d'Henri Riquet ;
 Ce serpent de pierre est sculpté au fond d'un bénitier. Ce bénitier au serpent se perche, se cherche et se trouve en l'église de Villefranche de Conflent



 Une littérature en vogue, depuis plusieurs années, dénonce une influence pernicieuse de certaines forces agissant par tout ce qui touche au domaine des ophidiens ou reptiliens dans les symboles ou dans l’histoire. Certains auteurs contemporains se sont même emparés de cet aspect pour relier le serpent à une influence extraterrestre sournoise qui serait sur la terre depuis des milliers d’années. C’est une fois de plus grâce à la Doctrine hermétique que nous allons tenter de découvrir ce que cache l’image du serpent.
Cet article n’a pas la prétention d’exposer, dans le détail, l’ensemble du problème car un ouvrage n’y suffirait pas. Seules les grandes lignes seront abordées. Le symbole du serpent se retrouve dans toutes les mythologies du monde. Nous pourrions remonter très loin dans l’histoire, mais pour des raisons évidentes nous ne nous bornerons qu’à des faits historiques facilement repérables. Le serpent a toujours eu mauvaise réputation, surtout en Occident et dans le Moyen Orient. Symbole du mal pour les uns, symbole satanique, pour d’autres, incarnation du vice, de la traîtrise, les reptiles ont subi l’outrage injustifié d’une méconnaissance historique. Aujourd’hui encore, une littérature conspirationiste liée aux extraterrestres nous ramène à des reptiliens dont certains êtres (voire l’humanité pour certains) seraient les descendants !
  Il n’est pas question ici de reprendre les propos d'auteurs qui traquent partout dans l’histoire, des exemples où figure le serpent en tant que symbole pour le rattacher à des êtres négatifs venus de l’espace afin de dominer l’humanité. Ainsi le détournement d’un symbole lumineux (comme nous le verrons) dans un sens pervers apporte de l’eau au moulin des courants déviants de l’humanité tout en servant leur sombres desseins. Mais nous y reviendrons plus loin. D’autres auteurs, plus sérieux apportent des éléments intéressants et il faut saluer la rigueur de leurs travaux.


Le symbole du serpent
 Il est peut-être utile de revenir sur certaines mythologies et passages de l’histoire afin de mieux comprendre que le serpent a toujours été, pour la Doctrine Hermétique, un symbole d’une haute représentativité pour les initiés et Gardiens de la Connaissance. Dans la mythologie égyptienne, Kneph, le Dieu Eternel, est figuré par un serpent, symbole de l'éternité. On y voit « l’animal » enroulé autour  d’un vase rempli d’eau sur lequel il souffle. Le serpent prend alors ici le nom d’Agathodemon l’esprit positif de la Nature et de l’Univers. Dans son aspect négatif il devient Kakodemon.



 Il faut savoir que toute chose dans la Nature possède un double aspect. Dire qu’il existe le Bien et le Mal serait rétracter quelque peu la réalité. En fait comme le disait Thot-Hermès, il n’existe qu’un seul Principe qui se décline à des degrés différents. Ainsi un symbole présente (comme toute chose) deux pôles dans sa propre nature. L’ombre par exemple n’est que l’aspect –à une échelle vibratoire plus basse- de la lumière. En toute chose il y a un côté positif et un côté négatif. Reste à savoir lequel nous préférons regarder. Cette Loi de polarité et d’équilibre des forces dont parlait Thot-Hermès, se vérifie partout dans la Nature. 
C’est dans ce sens positif qu’il faut voir le serpent comme symbole d’éternité et d’immortalité lorsqu’il enferme le monde dans un cercle en se mordant la queue. Il représente alors l’Infini des anciennes traditions, que l’on associa au  Père et ses aspects négatifs lorsque l’Ancien Testament fut remanié. Ce fameux serpent de la Genèse, ce serpent qui séduisit Eve qui apporta le fruit de la Connaissance devint le symbole satanique que nous connaissons, pour certains un représentant d’une race reptilienne. Mais qu’en est-il e réalité ? Au-delà de la fable et du mythe nous nous apercevons que l’Eglise a profité, comme du reste tous les courants judéo-chrétiens, de la puissance du symbole qui reflétait une réalité primordiale très importante pour le bénéfice des êtres humains, afin d’en fabriquer une image odieuse de tentation et d’abomination.

Est-ce le serpent (ou Connaissance) qu’il faut maudire dans ce symbolisme ou ce « dieu » qui voulait que notre conscience soit voilée pour l’éternité ? En fait la Doctrine Hermétique nous apporte beaucoup de précisions à ce sujet. Si des Etres (d’une grande évolution spirituelle) n’étaient pas venus sur notre planète à une certaine période de l’histoire du monde (voir : Thot-Hermès – origines secrètes de l’humanité) pour nous apporter la conscience, si ce « Serpent » qu’est la connaissance du Bien et du Mal, pour reprendre une allégorie, ne nous avait pas ouvert les yeux, que serions-nous ? Ce sont les pères de l’Eglise qui ont volontairement occulté certains textes et certaines vérités pour faire de ce Serpent un aspect du mal dans lequel l’humanité est plongée. Il faut savoir que toute la table généalogique du dixième chapitre de la Genèse se rapporte à des héros imaginaires, et que les versets qui terminent le neuvième sont des fragments de l'allégorie Chaldéenne de Sisuthrus et du déluge mythique, remanié pour coller avec la légende de Noé et que Seth, le troisième fils d'Adam le père du "peuple élu", n'était autre qu'Hermès, le Dieu de la Sagesse appelé aussi Thoth, Tat, Seth.



On peut se demander ce que fut au départ la véritable religion de Moïse qui s’inspira des textes chaldéens pour écrire la Genèse. Moïse pratiqua certainement une religion solaire basée sur le symbolisme ophidien comme le faisaient les Egyptiens (serpent = Connaissance). La Genèse fut ensuite « refondue » par Ezras après la captivité des Juifs à Babylone et c’est à ce moment là que l’interprétation changea.
 Les hiérophantes égyptiens et babyloniens se disaient "Fils du Dieu-Serpent", ou "Fils du Dragon" car dans les Mystères antiques, le serpent représentait Sagesse et l'immortalité, la roue cyclique de l’évolution quand il devient Ouroboros c’est-à-dire le serpent qui se mord la queue. Les anciens Druides se disaient également serpents. Karnak en Egypte a la même signification que le Carnac de Bretagne qui se traduit par la montagne du serpent. Gautama Bouddha est issu d'une lignée de serpents, par la race des rois Naga (serpent) qui régnaient à Magadha. Thot-Hermès est Têt dans son symbole du serpent (que l’on retrouve encore aujourd’hui dans la Caducée de nos laboratoires pharmaceutiques, ces mêmes serpents qui représentent les courants alternatifs positifs et négatifs à la base de tout l’univers et que l’on connaît grâce à l’Arbre de vie de la Kabbale).
 Suivant les légendes ophites, Jésus est né d'un serpent (la Sagesse divine), c'est-à-dire, qu'Il devint un Fils de Dieu par son initiation à la "Science du Serpent" et lorsqu’Il fut tenté par « Satan » dans le désert (lieu où séjournaient les initiés esséniens) on peut penser qu’Il fut soumis à des épreuves probatoires importantes par lesquelles les Grands initiés devaient passer. Il reconnait le serpent comme synonyme de Sagesse puisqu’il dit à ses apôtres : "Soyez aussi sages que les serpents", (Mat. 10-16). Voilà qui est sans équivoque !
  - Vishnou, identique au Kneph égyptien, se tient sur le serpent céleste à sept têtes comme pour montrer la dignité suprême du Serpent-Sagesse. Depuis la plus haute antiquité le serpent a été vénéré sur toute la surface de la terre comme la représentation de la sagesse divine. Sanchoniaton le prêtre initié qui vécut sous le règne de Sémiramis, nous dit que Thot-Hermès fut le premier qui considéra le serpent comme « le plus spirituel de tous les reptiles » il faut y voir là bien sûr un symbole qui représente la Sagesse qui tue pour mieux ressusciter, qui détruit pour mieux reconstruire, qui représente le karma et la Loi de réincarnation, mais surtout l’infini et l’éternité lorsqu’il est présenté en se mordant la queue.

Seigneur Vishnu et Lakshmi de déesse sur le serpent Adishesha

C’est donc la tradition judéo-chrétienne qui en fit plus tard le symbole satanique de la Chute. Cette inversion est due à la mainmise de l’Eglise aux premiers temps du christianisme sur les cultes païens qui gênaient son expansion. Mais comme il était dit au début de cet article, les anciens faisaient toujours une différence entre le bon et le mauvais Serpent. Le premier représentant la Sagesse divine et le second, le mal, sur le plan de la Matière. Car la Lumière divine lorsqu’elle « descend » du plan purement spirituel, devient de plus en plus grossière jusqu'à constituer Mâyâ ou le serpent tentateur c’est-à-dire trompeur de l’illusion sur notre plan, comme le symbolise très bien la queue de Cerbère faite de serpents c'est à dire de toutes les illusions.
Comme le dit A. Bailey dans Les travaux d'Hercule : Si nous étudions le symbolisme du serpent, nous voyons qu'il y a trois serpents : le serpent de la matière, celui de l'illusion et celui de la sagesse. Ce dernier n'est découvert que lorsque les deux autres ont été tués. 
Nous pourrions donner encore de nombreux exemples de la Sagesse, de la Connaissance associée au serpent. Les Ophites Gnostiques honoraient cet animal parce qu'il avait enseigné les Mystères aux premiers hommes. Ce sont ces mêmes Ophites que l’on retrouve dans les documents de Nag-Hammadi qui dénoncent le dieu d’Israël comme étant un faux dieu, un archonte, et c’est bien ainsi qu’il faut le voir. Les Gnostiques ophites savaient parfaitement la haute valeur spirituelle du symbolisme du serpent par ce qu’il représente dans l’idée et non pas dans son aspect physique.


Fragments des rouleaux de Nag-Hammadi


Les Adeptes Hindous et Tibétains étaient des Nâgas (serpents) qui étaient des humains et non des reptiles. On les nommait « serpents » car ils symbolisaient la Sagesse et la Connaissance. L’Ordre du Serpent, dans l’Antiquité, était ce collège de Sages qui avait pour mission d’apporter l’ouverture de la conscience aux hommes. Ce sont ces prêtres-savants-astronomes qui étaient détenteurs de la Doctrine hermétique qui se transmet depuis de nombreux millénaires.


  Comme il vient d’être dit, l’Eglise qui mit fin au culte du serpent dans ce qu’il a de plus divin, après des millénaires de croyances qui l’avaient assis dans sa véritable identité. Il devint le symbole de la malice et de la perversion, alors qu’il avait été jusque là le magnifique symbole de la Connaissance apportée aux hommes, le symbole de la Conscience manifestée, l’éveil de l’humanité à elle-même. Ce serpent, que l’on associe par ignorance aux forces du mal, est bien considéré comme le sauveur de l’humanité. IL n’a jamais « tenté » Adam et Eve dans l’allégorie du Paradis terrestre, il a tout simplement été le facteur d’éveil et de conscience sans lequel nous serions aujourd’hui comme des automates enfermés dans un rêve sans fin.  



Reptiliens et entités de l’espace
Il serait hors sujet ici d’aborder le thème des êtres de l’espace venus sur terre il y a fort longtemps à des fins d’évolution ou même parfois de destruction. Cela pourrait paraître hallucinant si la Doctrine hermétique n’en faisait pas référence et si l’histoire ne nous avait pas laissée des traces précises de leur passage. Assimiler cette histoire antique à des phénomènes OVNI et à une invasion de reptiliens serait travestir la réalité car les faits semblent plus complexes et moins restrictifs. La terre fut visitée et l’est encore par des êtres venus de régions plus ou moins lointaines de l’espace.
Dire que dans l’histoire antédiluvienne il existait des races différentes cela est un fait que la Tradition révèle. Ces êtres sont venus de l’espace pour réorienter l’évolution humaine, cela est incontestable et l’histoire, pour ceux qui ont des yeux pour voir, le démontre. Dire que des êtres immondes ont été le résultat d’un travail naturel qui a échoué (Bérose le mentionne dans ses écrits) est aussi vrai. Que des dragons volants sortes de ptérodactyles contemporains des hommes dans la lointaine Mu et en Atlantide aient existés cela aussi est dit par la Doctrine hermétique. Que des êtres vivant dans l’univers essaient d’intervenir sur notre terre cela est aussi une réalité. Ces êtres sont maintes fois venus au secours de notre humanité via des constellations lointaines.
Toutefois, considérer que des races reptiliennes ont façonné l’humanité a des périodes relativement proches de nous, cela me semble être une méconnaissance de l’histoire antique si l’on se base sur ce que nous ont rapportés  les Gardiens de la Connaissance depuis des générations. Les tablettes sumériennes présentent des épisodes de l’humanité qui étaient beaucoup plus anciens que ce que l’on a bien voulu nous présenter. Qu’il y ait une race « extraterrestre » venue apporter certains bienfaits à l’humanité il y a très longtemps cela semble se retrouver dans de nombreuses traditions de par le monde, mais ces traditions mentionnent un passé beaucoup plus ancien que l’époque sumérienne.


Que des entités odieuses aient pris part à la terrible confusion qui régna sur la terre à une époque très lointaine cela est encore mentionné par la Doctrine hermétique. Ce combat existe encore, il est le résultat de l’opposition qui engage les Forces de la Lumière et celles des Ténèbres (pour reprendre une terminologie antique) l’histoire récente le démontre une fois de plus. Toutefois, au regard de ce qui se passa dans la dernière phase de la période lémurienne on peut être tenté de dire que des êtres malsains ont essayé d’implanter sur notre planète leur autorité au cours de combats titanesques. Une progéniture dénaturée est née de leur intervention. C’est ce qui causa en partie la destruction du continent de Mu il y a plusieurs millions d’années. Un phénomène à peu près identique se produisit en Atlantide il y a de cela quelques centaines de milliers d’années ce qui occasionna également sa chute. Nous en payons encore aujourd’hui les conséquences.
Croire que cette histoire des « dieux » se déroula pendant la période sumérienne est, à mon avis, un anachronisme d’autant que Sumériens et Chaldéens trouvent leur origine dans l’Inde multimillénaire. Son histoire a pour berceau l’Atlantide mais non pas précisément celle de Platon, une Atlantide bien plus ancienne. C’est de l’Inde que les Nâgas ont apportés la Connaissance à la Chaldée via Sumer. Les tribus d’Akkad de Chaldée, de Babylonie et d'Assyrie ont eu un lien de parenté avec les Brahmanes de l'Hindoustan il y a plus de 8000 ans et l’histoire qu’ils racontaient à ces peuples qui naissaient, était fort lointaine et se perd dans la nuit des temps.
 Que des manifestations d’êtres venus d’ailleurs se soient positionnées dans l’histoire du monde a différentes époques et particulièrement dans la lointaine Lémurie, cela est certain mais ceux que l’on nomme les « reptiliens » agissent, me semble-t-il, d’une manière beaucoup plus sournoise que ce que l’on croit. Il faut savoir que la terre est un enjeu à plus d’un titre pour des prédateurs et cela à de nombreux niveaux. Bien que notre planète soit assaillie par des êtres qui veulent notre perte, elle est par ailleurs protégée par d’autres qui nous apportent une aide considérable. A tout cela se mêle un autre facteur important il s’agit de ceux que l’on appelle aujourd’hui « les reptiliens » ou « les Gris ». Présenter ainsi les choses peut paraître ridicule, voire insuffisant et tel n’est pas le but de cet article.
Le secret du Nagual
 Néanmoins au regard de cet imbroglio apparent des indices nous sont donnés qui nous permettent d’imbriquer certains éléments les uns aux autres. Dans mon livre (Thot-Hermès - Origines secrètes de l’humanité) je présente brièvement le travail effectué pendant de nombreuses années par Carlos Castaneda et particulièrement de son Maître Don Juan Matus.
  
     (Photo de Carlos Castaneda)

 (photo de Don Juan Matus )  " ? "
 
Don Juan était le dernier représentant d’une chaîne de « sorciers » toltèques (donc atlantes). C’est sans doute dans ce que dit don Juan à son élève que l’on trouve, en partie, la clef de ce qui est associé aux « reptiliens ». Le maître de Castaneda les nomme les planeurs (voir « Le voyage définitif » de C. Castaneda Ed. du Rocher). Il dit qu’une vieille tradition toltèque raconte qu’ils sont venus du fond du cosmos il y a de cela très longtemps (ce qui rejoint complètement la Doctrine Hermétique).
Il dit encore que ces planeurs (êtres inorganiques) nous tiennent sous leur emprise et ajoute :                                                                         
 Ils ont besoin de nous pour se nourrir et c’est pour cela qu’ils nous pressurent inlassablement exactement comme nous qui élevons des poulets pour les manger. Ils nous élèvent dans des « poulaillers » humains pour ne jamais manquer de nourriture.
 D’après Don Juan ce sont ces prédateurs qui nous ont imposé nos systèmes de croyance, nos idées sur le bien et le mal etc… En fait tout un conditionnement dans lequel nous sommes enfermés depuis des millénaires. Ils se repaissent de ce qu’ils n’ont plus en eux c’est-à-dire la conscience. Cela nous permet de rebondir sur une autre question : que cherchent ces êtres que d’aucuns nomment aussi « les Gris » ? 
Ce sont des entités malsaines qui se nourrissent des émotions humaines aux seules fins de vivre. Ils jouent sur le clavier de notre psychisme pour absorber cet aspect subtil qui leur fait défaut. Ce sont des entités qui vivent sur un plan très bas ce qui leur permet aisément de se manifester physiquement dans certaines occasions. Les nombreux rapports qui existent permettent de déceler qu’ils utilisent parfois des implants sur certains êtres humains afin de dominer un jour l’humanité. Il faut dire que cet implant existe déjà de façon naturelle et depuis plusieurs millions d’années. Mais nous aurons probablement l’occasion de reprendre ce thème plus tard.
 C’est ainsi, sans aller plus loin, que nous comprenons une fois de plus que la seule façon d’échapper à ce vampirisme demeure l’évolution de la conscience. Sans cela, l’être humain ne pourra jamais se dégager de cette emprise. La capacité intellectuelle, l’évolution technique et scientifique, la culture académique sont de choses bonnes en soi mais sans la VOLONTE pugnace de l’homme à retrouver sa capacité divine en lui, sans le travail incessant pour ouvrir d’autres horizons d’éveil de conscience, rien ne changera.
 Si chacun travaille vers cet objectif, là réside le salut. Alors la lumière qui brillera en chacun sur la surface de notre terre dissipera ces ténèbres trop longtemps implantées dans notre civilisation, et cette Lumière des consciences éveillées sera la mort annoncée de cesplaneurs dont parlait don Juan et qui sont bien connus de la Doctrine hermétique. Ce sera alors la victoire véritable du Serpent c’est-à-dire de la Science Sacrée dont les Arhats, les Mahamas de la Grande Loge Blanche, ont toujours été les Gardiens. Sans ces Êtres de Lumière,  notre planète aurait depuis longtemps été anéantie.
    
                 

(Photos : Les Mahatmas Kout-Houmi et Morya)
Cet article, au-delà des considérations fantastiques, n’a qu’un seul but : montrer qu’outre la curiosité que l’on peut manifester pour ces sujets, chacun doit méditer sur sa capacité personnelle à se transformer intérieurement et à travailler à son éveil personnel afin de laisser plus de place dans sa vie à la spiritualité. Trop se pencher sur ces sujets -de plus en plus au goût du jour- est une manière indirecte d’être attiré par ces forces négatives dont il a été question. Il semble que la prise de conscience du sujet soit suffisante pour diriger nos efforts vers un travail personnel d’édification intérieure qui est, comme il a été dit plus haut, la meilleure façon d'anéantir ces forces malsaines contre lesquelles l'humanité engage dès maintenant l'ultime combat.  
                                            GD
 
LE Texte a été  trouvé là ;
 http://gdelaage.over-blog.com/article-7029599.html
ICI  lectures complémentaires avec titres des livres Casténada
http://www.babelio.com/auteur/Carlos-Castaneda/4947
et
  http://ambre.bleu.free.fr/lectures/nagual.htm
http://arts-et-philosophies.cusi.fr/texte/textes-de-don-juan-matus.html