Comprendre le lien entre la colonne vertébrale et vos autres organes.
Vous avez surement remarqué que vos problèmes de dos
influent directement sur les autres parties du corps y causant douleurs
et dysfonctionnements.
Dans ces cas là, on traite en général le mal ... sans soigner la
cause, et donc sans obtenir de véritable guérison.
( de Danysis - C'est ce qui fait la richesse des laboratoires pharmaceutiques, qui nous "tuent", voir
Il faut donc s’intéresser de
près à la colonne vertébrale.
En apprenant les connections entre la colonne vertébrale et
les différents organes du corps, on peut déterminer le problème réel, en précisant le point douloureux sur la colonne, et le soigner à
l’origine.
L’origine réelle de vos douleurs
Le schéma ci-dessus montre les liens entre chaque organe et
la colonne vertébrale.
En associant le point douloureux à l’organe , on peut
ainsi guérir le problème à la source. Par exemple les ostéopathes déclarent que
70%des maux de tête proviennent de la colonne vertébrale.
L’origine réelle vos douleurs :
Les douleurs dans la partie thoracique de la colonne
vertébrale peuvent indiquer un problème gastrique ; intestinal ou
cardiaques
Les problèmes dans la partie lombaire de la colonne
ne touchent pas uniquement le bas du dos, mais peuvent se révéler aussi par des
douleurs de la cuisse, de la hanche et peuvent même nuire à la marche en
modifiant la sensibilité au niveau des jambes.
D’autres problèmes de santé, tels que les bourdonnements
d’oreilles, les difficultés à avaler la nourriture, et des troubles de la
vision peuvent provenir d'une atteinte de la paroi d'un disque intervertébral.
En conclusion, entretenir sa colonne vertébrale et la
renforcer, permet de prévenir et d’éviter beaucoup de problèmes avec les autres
organes du corps.
La douleur : définition
Comment cela fonctionne-t-il ? (Danysis ; en court )
Physiologiquement, notre système sensoriel décode les
informations qui permettent de détecter les dangers présents ou potentiels.
Il
s’agit de la douleur sensation physique ou perception corporelle.
Ce système de décodage permet au corps d’analyser les
caractéristiques de la douleur (élancement, brûlure, lourdeur, décharge
électrique…), mais aussi sa topographie, son intensité, son type et sa durée.
C’est le désagrément qui rend la douleur pénible et nous pousse à l’éviter.
Cette pénibilité détermine le seuil de la douleur.
Ce seuil
est très variable d’un individu à l’autre et aussi dans le temps pour un même
individu.
Lorsque l’on se brûle la main par exemple, le retrait automatique est
immédiat et protecteur. Il n’est pas conscient ; c’est un système de
protection.
L’information devient consciente une fois parvenue au
cerveau.
La neurophysiologie a permis de démontrer que les influx nerveux
électriques et les mécanismes de contrôle de la douleur sont effectués en
grande partie par le cerveau. L’intégration de la douleur au niveau du cerveau
va entraîner des réactions physiologiques et comportementales.
La douleur et ses composantes
La douleur a plusieurs composantes ;
- physique,
- sensorielle,
mais aussi
- cognitive (les pensées, les croyances, les interprétations de la
douleur…),
- comportementale (ce que l’on fait ou ne fait pas pour lutter contre
la douleur…)
- et émotionnelle (colère, tristesse, non-acceptation…).
Le cerveau
va mémoriser toutes les expériences de douleurs ainsi que leurs circonstances
d’apparition.
Ces expériences douloureuses mémorisées vont permettre à
l’organisme de se protéger à MIEUX VIVRE AVEC UNE DOULEUR
Voir aussi complément détaillé en fin !
http://www.healthyfoodteam.com/the-real-cause-of-pain-how-the-spine-is-connected-with-all-organs/ et
http://www.eddenya.com/
DONC, La douleur, c'est quoi au juste ?
La douleur est difficile à définir car elle est personnelle
et subjective : tout le monde possède les mêmes mécanismes de déclenchement de
la douleur, et cependant, chacun la ressent différemment.
La douleur fait partie du système de défense de l’organisme.
Lorsque le corps détecte une maladie, une blessure ou une anomalie
* il
déclenche un signal de douleur pour nous faire réagir :
-retirer la main du feu
par exemple,
- ne pas marcher avec une entorse,
- nous soigner,
- nous protéger d’une
blessure…
La douleur permet donc d’attirer notre attention sur quelque
chose d’anormal : notre corps sonne l’alarme.
* Le signal de douleur est
différent en fonction de la cause de la douleur :
une brûlure ne provoque pas la
même sensation qu’une fracture.
Mais la douleur varie également en fonction des
personnes, de nos émotions, de notre mental, de notre stress, de notre
éducation et de notre culture.
Selon les circonstances, elle est plus ou moins facile à
supporter.
Un moment de plaisir peut calmer un instant une douleur vive.
Au
contraire, une anxiété ou une période de dépression accentuent la douleur et la
rendent plus difficile à vivre.
La douleur est donc une sensation complexe, à la fois
physique et émotionnelle.
Elle se traduit par :
- Une sensation physique, caractérisée par la
localisation, l’intensité et l’évolution de la douleur (« ça pique », « ça
brûle », ça fait « un peu » ou « très mal », « ça augmente » ou « ça diminue »)
;
- Une émotion, qui correspond à ce que nous ressentons
moralement (« c’est désagréable », « c’est pénible », « c’est inquiétant », «
c’est insupportable »);
- Un comportement, qui correspond à notre manière de
réagir à la douleur, de l’exprimer par le corps ou par la parole (position,
grimace, pleurs, cris, plainte) ;
- Une réaction mentale, qui correspond à notre façon de
la gérer, de l’interpréter, de lui donner un sens, de chercher à l’oublier ou à
vivre avec.
Ces quatre aspects sont indissociables.
Pour comprendre et
soulager la douleur, il faut donc prendre en compte sa cause physique, mais
aussi et surtout ce que la personne ressent, physiquement et moralement.
La douleur est une sensation à la fois physique et
émotionnelle.
C’est une expérience personnelle : chacun ressent et réagit
différemment face à sa douleur.
On distingue différents types de douleurs en fonction de
leur mécanisme d’origine (nociceptif ou neuropathique) et de leur évolution
dans le temps (aiguë et chronique).
Une douleur nociceptive peut être aiguë (brève) ou chronique
(persistante).
Les douleurs d’origine neuropathique sont souvent des douleurs
chroniques.
Reconnaître ces différents types de douleurs permet de
choisir le bon traitement et de les soulager efficacement.
Toute douleur doit être signalée et soulagée rapidement,
pour éviter qu’elle ne s’installe et ne devienne chronique.